Récupérer les fonds de flacons...

Il peut arriver qu'en fin de flacon, le volume restant soit insuffisant pour effectuer 1 dépôt complet ou l'ensemble des dépôts de la journée suivante.
Or, si la limite de stabilité de ce contrôle n'est pas encore atteinte, on peut envisager d'utiliser ce reliquat pour participer au prochain dépôt. Cela peut représenter de sensibles économies...

CQlabCALC® vous signale quand cette opportunité se présente.

2 laboratoires équipés du même analyseur auront t-ils les mêmes besoins en CIQ?


Il est tentant de supposer, sur la seule considération que 2 laboratoires sont équipés du même analyseur, qu'ils auront les mêmes besoins en CIQ...
Malheureusement, les choses ne sont pas toujours aussi simples. En effet, il faut compter sur la multitude de paramètres entrant en jeu (voir méthodologie).
Il est en effet :
  • Très probable qu'ils ne réalisent pas exactement le même panel d'analyses. Or les prises d'essais variant d'une méthode à l'autre, les cumuls de prises d'essais pourront être très différents. De plus, un analyte d'écart peut justifier à lui seul d'ajouter une référence de CIQ supplémentaire rien que pour pouvoir le contrôler... 

Cas des ADVIA® Chimie (1800 et 2400)

Les systèmes ADVIA® Chimie (1800 et 2400) exploitent de façon très particulière leurs CIQ, puisqu'ils leur font subir, à chaque passage, une pré-dilution interne, avant de tirer une prise d'essai de ce diluat.
Le facteur de dilution et la prise d'essai étant fonction de la méthode, calculer les volumes de CIQ requis par ces systèmes s'avère particulièrement complexe.
Heureusement, ces calculs sont automatisés dans CQlabCALC®...

Par ailleurs, ces calculs soulignent la sobriété de tels systèmes. Il est donc probable que certains de leurs utilisateurs découvrirons, grâce au logiciel CQlabCALC®, qu'ils y déposent des volumes de CIQ beaucoup trop importants par rapport aux volumes réellement nécessaires...